Des antibiotiques au début de la grossesse augmentent le risque d'avortement
Bien que les antibiotiques sont utilisés régulièrement pendant la grossesse pour traiter les infections des femmes enceintes, la preuve par rapport à la la sécurité du fœtus celui-ci, il reste limité. Voilà pourquoi une enquête menée par des scientifiques de l'Université de Montréal, et publié dans la revue Canadian Medical Association Journal Il a étudié s'il existe une relation entre les balises la consommation de certains antibiotiques couramment utilisé au début de la grossesse avec une augmentation de la risque de avortement spontané
L'utilisation de deux antibiotiques, l'azithromycine et la clarithromycine, l'étude a été associée à un risque accru d'avortement spontané était de 65%, et deux fois, respectivement
Pour mener à bien l'étude, les chercheurs ont pris comme données de point de départ entre 1998 et 2009 « Cohorte de grossesse Québec ». Sur la base de ces données provenant de plus de 8.700 fausses couches cliniquement certifiés avec ceux d'un groupe témoin composé de plus de 87.000 femmes ont été comparées. Les femmes qui ont participé à l'étude étaient enceintes quand ils étaient entre 15 et 45 ans et ont été couverts par l'assurance. L'âge gestationnel moyen auquel a eu lieu sur l'avortement était de 14,1 semaines et les femmes qui ont été traités avec des antibiotiques se sont élevés à 1.428 dans le premier groupe, et 11018 dans le groupe de contrôle.
Les antibiotiques qui peuvent augmenter le risque d'avortement
A partir de ces variables, les auteurs de l'étude ont montré comment certains antibiotiques couramment utilisés, y compris les macrolides, quinolones, tétracyclines, sulfamides et métronidazole étaient liés directement avec un la grossesse précoce et involontaire interruption Cependant, cela n'a pas été le cas avec d'autres antibiotiques aussi couramment utilisés, tels que l'érythromycine ou nitrofurantoïne.
Les données risque accru d'avortement ont été particulièrement pertinents dans le cas de deux antibiotiques, azithromycine et clarithromycine Qu'ils ont montré un risque accru de 65%, et double, respectivement. Ceci, dans le cas de la clarithromycine, selon les enquêteurs, soutiendrait les résultats des études précédentes montrant des chiffres similaires.
Pour les auteurs de l'étude, cette recherche devrait être utile pour les décideurs et actualizasen revoir les directives existantes pour le traitement des infections pendant la grossesse. Cependant, ils reconnaissent qu'il ne peut pas exclure la confusion causée par la gravité de la maladie traitée avec des antibiotiques (ce qui peut provoquer En soi De l'avortement). Ils notent toutefois que cette confusion serait résiduelle, et qu'en aucun cas pourraient expliquer les résultats obtenus dans l'étude.